En France, lors des procès pour viol, on se focalise davantage sur l’état d’esprit de la plaignante que sur le comportement de l’accusé, explique, dans un entretien au ​« Monde​ », la juriste féministe américaine. Qui s’invite dans le débat national en publiant chez Flammarion « Le Viol redéfini ».